L'éditeur présente ce livre en quelques mots : "Pays que l’on traverse sans s’arrêter, amours enfuies, villes rêvées, forêts fantastiques... Voici quelques-uns des motifs de prédilection de Marie Modiano. Une poésie faite toute entière de variété, où les vers changent de mesure au fil du recueil, s’allongeant jusqu’à se transformer en prose, s’écourtant jusqu’à former des comptines, inventant à chaque fois un nouveau rythme et un nouveau ton."
"Ce qui frappe, à la lecture, c'est ce mélange de nostalgie et de vitalité, commente Mohammed Aissaoui dans "Le Figaro". Si l'humour est la politesse du désespoir, alors, chez Marie Modiano, le sourire - elle sourit tout le temps - est le masque de la mélancolie. Une phrase, parmi d'autres, qui en dit long: «Les anges camouflent souvent la douleur.» Il y a de la grâce et de la gravité dans ce recueil. «Où est mon pays?», s'interroge la voyageuse. Elle y répond, ailleurs: «Peu importe le pays,/Je m'y sens chez moi ;/Et bien qu'il fasse sombre,/Les fantômes qu'on y croise/Ne me font jamais peur./C'est le refuge de ceux qui rêvent un peu plus fort que d'autres (…)»
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A lire aussi, un entretien accordé par Marie Modiano à "L'Express".
"Mon père m'a toujours beaucoup soutenue, surtout quand je lui ai lu les poèmes de ce recueil. Nous évoquons souvent ensemble les différences qu'il y a entre le roman et la poésie", y indique-t-elle notamment.
Merci Papa....
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