Il y revient sur ce livre, mais aussi sur les quartiers de Paris, le futur antérieur ("le temps qui me correspond le mieux", dit-il), le nom de ses personnages, le spleen du dimanche, la poésie, l'écriture des romans...
A ce sujet, il lâche une réponse inattendue: "Le roman, c’est lourd, suffocant, ce n’est pas fait pour l’impétuosité de la jeunesse. Avec le temps, on apprend à supporter la charge du roman. Un déménageur m’a expliqué un jour qu’il y a des positions du corps qui permettent de ne plus sentir le poids. C’est pareil pour l’écriture du roman..."
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