Louisa Colpeyn, la mère de Patrick Modiano, y joue un petit rôle, celui d’une comtesse russe.
Patrick Modiano cite ce film parmi ceux dont les titres l’ont fait rêver - peut-être est-ce une des raisons qui l'ont amené à choisir à son tour L'Herbe des nuits pour titre d'un de ses romans.
« C’est un peu comme les rêves de films que je faisais souvent. Je me souviens de certains titres qui me faisaient rêver, il y avait un film qui s’appelait Je reviendrai à Kandara, un autre Marguerite de la nuit, un autre Clara de Montargis – et je me disais que ce n’était même pas la peine de les voir, parce que je serais déçu. Le titre suffisait, on n’avait pas envie de dissiper le mystère » (propos tenus lors de l’émission Cinéma Cinémas 2 le 6 novembre 1990, et cités dans Les Mémoires de Gascogne).
Dans Un pedigree, Modiano évoque ses lectures de la fin des années 1950, dont Marguerite de la nuit : « Dans d’autres livres, je retrouvais le fantastique des rues: Marguerite de la nuit, Rien qu’une femme, La rue sans nom. »
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-Patrick Modiano et le cinéma
-la filmographie de Luisa Colpeyn
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